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LE VOLONTARIAT EN SERVICE CIVIQUE
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Le service civique est un type de volontariat ouvert aux jeunes de 16 à 25 ans (jusqu’à 30 ans pour les personnes en situation de handicap) qui permet de s’engager pour une grande cause dans une mission d’intérêt général auprès d’une association ou d’une collectivité locale.
Les volontaires en service civique de FNE Occitanie Pyrénées en 2022
En faisant partie d’une association qui lutte pour la protection de l’environnement, les volontaires peuvent être amenés à animer des stands sur des évènements pour sensibiliser le public à cette grande cause. Ils peuvent présenter l’association, ses actions, ses missions et son fonctionnement. Ils peuvent rencontrer le public et échanger des contacts. Ils pourront s’aider de documentation sous forme de flyers, de maquettes, de jeux…
De très nombreuses associations tiennent des stand, comme France Nature Environnement Occitanie Pyrénées ou Ma Bibliothèque d’Objets.
Les compétences développées :
Médiation téléphonique
Certaines associations comme FNE Occitanie Pyrénées ou Nature en Occitanie possèdent des standards téléphoniques pour être joignables toute la journée. Le public peut les contacter pour toute question relative au fonctionnement de l’association et à son champs de compétence.
Les « médiateurs faune sauvage » de Nature en Occitanie reçoivent des appels de personnes qui ont trouvé un animal sauvage blessé ou avec qui ils rencontrent un conflit. Les volontaires les aident à trouver une solution et envoient des bénévoles sur place si nécessaire, grâce au large réseaux qu’ils gèrent.
Les compétences développées :
Création d’animations
Pour sensibiliser le public aux questions environnementales, les volontaires peuvent créer des animations, afin de rendre ces problématiques accessibles à un plus large public. Il n’y a aucune limite quand à la diversité des supports utilisables ! Maquette, BD, quiz, jeu de plateau, escape game… le volontaire laisse libre court à sa créativité !
C’est un type de tâches régulièrement effectué par les volontaires de France Nature Environnement Occitanie Pyrénées.
Eux ou d’autres volontaires pourront ensuite les présenter lors d’évènements organisés par l’association ou des partenaires.
Les compétences développées :
Animation d’ateliers thématiques
Des ateliers peuvent être proposés au public durant des évènements. Il peut s’agir de jeu de sensibilisation aux problématiques environnementales, d’activités manuelles : fabrication de produits ménagers, d’éponges ou de bombes de graines.
Les volontaire de la régie de quartier de la Reynerie à Toulouse sont souvent amenés à réaliser ce type de tâche.
Les compétences développées :
Animation de réseaux sociaux
Les volontaires peuvent participer à l’animation des différents réseaux sociaux sur lesquels leur structure présente du contenu. Du relai d’informations, aux vidéos de présentation, ils informent en temps réel sur toutes les actualités de la structure !
De très nombreuses associations possèdent des réseaux sociaux, comme France Nature Environnement Occitanie Pyrénées ou Ma Bibliothèque d’Objets.
Les compétences développées :
Sensibilisation du public sur site
Dans certains espaces, il est nécessaire de respecter certaines règles pour veiller à la protection de la nature et au bien être de la faune et de la flore sauvage. Les volontaire peuvent contribuer à faire respecter ces règlements, par exemple en sensibilisant le public sur les raison de leur existence.
Les écogardes de la Réserve Naturelle Régionale Confluence Garonne-Ariège patrouillent sur l’ensemble de la réserve pour sensibiliser le public aux bonnes pratiques sur ce territoire. Ils partagent leurs connaissances sur les richesses de la faune et de la flore que l’on peut observer.
Les compétences développées :
Entretien d’espaces naturels et veille environnementale
Certaines associations ont pour mission la gestion d’espaces naturels, dans ce contexte, les volontaires peuvent être amenés à effectuer des tâches d’entretien. Il peut s’agir de paillage, d’arrachage de plantes exotiques envahissantes, de ramassage de déchets, ou de restauration de signalisation dans ces espaces.
C’est notamment une des missions des écogardes sur la réserve Réserve Naturele Régionale Garonne-Ariège.
Les compétences développées :
Suivis naturalistes
Pour mieux protéger la nature, il est important de la connaître. Certaines associations se spécialisent dans le suivi naturaliste et le prélèvement de données d’espèces animales et végétales.
Les écogardes de Nature en Occitanie effectuent à l’occasion des suivis de chiroptères (les chauve-souris), de papillons, d’odonates (ex :les libellules), de reptiles, ou d’hirondelles… C’est aussi une des tâche des volontaires de la Fédération des chasseurs.
Les compétences développées :
Animation du réseau de bénévoles
Les associations fonctionnent bien souvent en grande partie grâce à leurs bénévoles. Pour leur permettre de coordonner leurs actions et leurs volontés, les volontaires peuvent encore donner un coup de main ! Ils peuvent mettre en contact les personnes susceptibles de monter des projets ensemble ; chercher des compétences ou des disponibilités parmi le réseau de bénévoles; rédiger des newsletters diffuser l’information.
Les compétences développées :
Coordination d’évènements
L’organisation ou la participation à des événements demande une logistique complexe ! Que ce soit pour la communication, la préparation du matériel ou contacter les acteurs, les volontaires peuvent développer leur sens de l’organisation en apportant leur soutien à leur association.
Les compétences développées :
Création de contenu médiatique
A travers des vidéos, des articles presse, des pages internet ou tout autre support qui lui semblerait adapté, le volontaire peut créer du contenu médiatique pour faire toujours plus de lien avec le public !
Quelle était ta situation au moment de postuler à la mission ?
Mon Master 2 en Biologie Écologie Évolution à l’université Paul Sabatier à Toulouse venait de se terminer par un stage de 6 mois à l’association Nature En Occitanie.
Quelles ont été tes motivations pour faire un service civique ?
Et pourquoi le domaine de l’environnement ?
L’objectif était d’acquérir de l’expérience après les études avant de postuler à un travail puisque je ne me sentais pas légitime d’occuper un poste et je manquais de confiance en moi. Le volontariat de Service Civique est fréquemment utilisé comme première expérience professionnelle pour les étudiants en écologie. Je souhaitais le réaliser dans le domaine de l’environnement car je voulais travailler dans la protection de la nature.
L’accomplissement dont tu es le plus fier ?
Ce n’est pas une mission réalisée pendant le Service Civique mais : avoir été embauchée à Nature en Occitanie pendant le Service Civique.
Aujourd’hui, qu’est-ce que ça t’a apporté ?
Plus de légitimité et d’expérience et un réseau professionnel.
Volontaire en Service Civique en un mot ?
Enrichissant
Quelle était ta situation au moment de postuler à la mission ?
J’étais en pleine période de remise en question tant d’un point de vue professionnel que personnel. Après une année sabbatique à me consacrer à ma santé, mon but était de me réintégrer dans le monde professionnel.
Quelles ont été tes motivations pour faire un service civique ?
Et pourquoi le domaine de l’environnement ?
A l’époque je voulais me réintégrer dans le monde professionnel mais en douceur. Le Service Civique était pour moi, ce qu’il me fallait pour remettre un pied dans le monde professionnel tout en alliant un accompagnement et un but altruiste. Pour l’environnement, je n’avais pas trop de connaissance mais surtout des bases. L’objectif étant aussi de mieux comprendre le domaine de l’environnement et toutes les actions menées pour sa protection.
Une anecdote que tu souhaites partager ?
La première anecdote qui me revient à l’esprit ça va être celle du petit chat que nous avions trouvé dans le parking. Après l’avoir amené chez le vétérinaire. Il a été adopté par une autre personne en service civique. Aujourd’hui j’ai encore des nouvelles de ce petit chat qui n’est plus si petit que ça d’ailleurs !
L’accomplissement dont tu es le plus fier ?
Avoir contribué à toutes les vidéos de la chaîne YouTube FNE MP que ce soit juste en changeant le style graphique des miniatures ou en ayant trouvé, écrit, réalisé et monté ces vidéos !
Aujourd’hui, qu’est-ce que ça t’a apporté ?
Aujourd’hui je vis de ma passion, sans ce Service Civique je n’aurais pas retrouvé cette confiance en mon travail et en ma personne. Grâce à l’équipe toujours à l’écoute qui m’a intégré directement et accepté comme j’étais. D’un point de vue personnel cette expérience m’a aussi fait grandir, j’ai aussi pris plus de confiance en moi. A l’époque j’habitais chez mes parents sans vision pour mon futur, aujourd’hui je suis autonome financièrement dans mon propre appartement avec un bon début de carrière.
Volontaire en Service Civique en un mot ?
Être volontaire en Service Civique apporte bien plus qu’on peut se l’imaginer en commençant le
programme !
Quelle était ta situation au moment de postuler à la mission ?
J’étais en sortie d’étude en Master 2 Écologie Évolution et à la recherche d’un emploi dans le domaine de mes études.
Quelles ont été tes motivations pour faire un service civique ?
Et pourquoi le domaine de l’environnement ?
Mes motivations pour faire un service civique étaient d’avoir une expérience et une montée en compétences qui puissent être valorisées sur mon CV pour l’obtention d’un emploi dans l’environnement, tout en ayant un revenu qui me permette de payer mon loyer et de manger.
Le domaine de l’environnement parce que c’était la suite logique de mes études et en lien avec mon projet professionnel.
Une anecdote que tu souhaites partager ?
Lors d’un rendez-vous avec un élu de Toulouse Métropole et le collectif au sein duquel j’ai fait mon volontariat de Service Civique, l’élu ne connaissait pas le Service Civique, il m’a pris pour le coordinateur du collectif et a donc accordé plus d’importance à mes paroles que celles des autres membres du collectif présent.
L’accomplissement dont tu es le plus fier ?
Lors de mon Service Civique, avec l’équipe dans laquelle j’étais, j’ai décroché une subvention régionale de 140 000 euros « Ma solution pour le climat » pour le collectif au sein duquel j’ai effectué ma mission.
Aujourd’hui, qu’est-ce que ça t’a apporté ?
De l’expérience, j’ai appris à davantage dire « non » et à moins me faire berner par la première impression/image que l’on peut nous montrer d’un projet.
Volontaire en Service Civique en un mot ?
Résilience, médiation.
Quelle était ta situation au moment de postuler à la mission ?
J’étais en contrat Parcours emploi compétences de 9 mois à la mairie de Toulouse. Je travaillais dans des écoles primaires en tant qu’agent technique des écoles.
Quelles ont été tes motivations pour faire un service civique ?
Et pourquoi le domaine de l’environnement ?
Avant de devenir volontaire en service civique, j’étais déjà bénévole en tant que secrétaire à FNE Midi-Pyrénées. Je voulais m’investir davantage dans cette association.
Une anecdote que tu souhaites partager ?
Une discussion avec un salarié de FNE Midi-Pyrénées durant laquelle j’évoquais vouloir être bénévole au festival de rue chez ARTO (Festival de rue de Ramonville) cet été. Il m’a raconté y être déjà car il s’occupait des after-bénévoles après le festival.
L’accomplissement dont tu es le plus fier ?
Quand j’ai fait des lettres d’accompagnement pour l’envoi de documentations en me servant de modèle sur l’intranet et que j’ai eu les félicitations de mon tuteur.
Aujourd’hui, qu’est-ce que ça t’a apporté ?
J’ai pu trouver le juste milieu entre ma spontanéité et ma franchise. Acquérir de nouvelles compétences professionnelles qui, par la suite, ont pu me permettre de trouver un CDD chez un sous-traitant d’Airbus en tant que prestataire administratif.
Volontaire en Service Civique en un mot ?
Pour moi ça été une expérience unique. Cela m’a permis de me situer dans un cadre professionnel dont j’avais besoin et ainsi d’acquérir de nouvelles compétences professionnelles, notamment sur un plan relationnel et humain, tout en agissant pour une cause qui me tient à cœur.
Quelle était ta situation au moment de postuler à la mission ?
J’étais en recherche d’emploi, en pleine période COVID. Ne trouvant aucune offre correspondant à mes compétences, je me suis tournée vers les services civiques. J’ai trouvé cette opportunité de travailler à mi-temps (ce qui me correspondait parfaitement au vu de mes problèmes de santé) et dans un domaine qui me passionnait.
Quelles ont été tes motivations pour faire un service civique ?
Et pourquoi le domaine de l’environnement ?
J’ai toujours été très intéressée par le domaine de la protection de l’environnement, et souhaitais mettre mes compétences professionnelles au service de cette cause importante. De plus, le fait de travailler en association m’a permis de côtoyer des personnes aussi passionnées et volontaires que moi, sans avoir cette pression de « la rentabilité à tout prix » plus courante dans les entreprises.
Une anecdote que tu souhaites partager ?
Par hasard, je me suis trouvée à collaborer avec des gens qui ont, par le passé, enseigné à mon grand frère et travaillé avec lui. Il est aussi dans la protection et surveillance de la qualité de l’air. J’ai donc pu en plus apprendre d’un point de vu personnel en échangeant avec lui, et récolter des informations très utiles sur mon univers professionnel.
L’accomplissement dont tu es le plus fier ?
Je suis très fière d’avoir pu apporter ma pierre à cette cause qui, je le répète, me tient à cœur depuis longtemps. J’ai beaucoup aimé avoir de la variété dans mes projets (montage vidéo, création de flyers, illustration) et surtout la liberté qui m’a été donnée pour l’accomplissement de ceux-ci. C’est pourquoi j’ai beaucoup aimé ajouter des touches d’humour lorsque c’était possible. La déclinaison des différentes fiches pratiques sur la qualité de l’air a été mon projet préféré.
Aujourd’hui, qu’est-ce que ça t’a apporté ?
Cette expérience a renforcé mon envie de travailler dans le domaine de la protection de l’environnement, et m’a également apporté l’expérience et les ressources nécessaires pour l’accomplissement de ce projet
Volontaire en Service Civique en un mot ?
Ma meilleure expérience professionnelle jusqu’à présent, que ce soit au niveau des missions ou de l’équipe avec laquelle j’ai pu travailler. Merci à eux !
Quelle était ta situation au moment de postuler à la mission ?
J’avais terminé mon stage de fin d’études et j’étais en recherche d’emploi à Toulouse, venant à l’origine de l’Ile-de-France.
Quelles ont été tes motivations pour faire un service civique ?
Et pourquoi le domaine de l’environnement ?
C’était mon domaine d’études. Un Service Civique car c’est une porte d’entrée dans le milieu. Cela m’a permis de connaître le réseau d’acteurs locaux, et d’avoir une première expérience.
Une anecdote que tu souhaites partager ?
Je n’ai pas une bonne mémoire mais je repense au jour où j’ai découvert avec mes deux collègues de bureau, dont ma tutrice, que des poux avaient infesté une des chaises de bureaux !
L’accomplissement dont tu es le plus fier ?
L’encadrement des bénévoles pour le banquet des 5000, un repas géant et gratuit pour 5000 personnes réalisé à partir d’aliments destinés à être jetés.
Aujourd’hui, qu’est-ce que ça t’a apporté ?
Les bases d’une professionnalisation, la connaissance du monde associatif (et militant) en environnement.
Volontaire en Service Civique en un mot ?
Engagement.
Aucune des missions proposées sur le site du service civique ne te correspond ? Ou bien tu as déjà une idée précise de la mission que tu veux réaliser ? Crée ta propre mission !
Pour cela, pose toi les bonnes question ! « Auprès de qui ai-je envie de réaliser ma mission ? « , « Sur quelles thématiques ai-je envie de travailler ? ». Tu pourras ainsi identifier les structures susceptibles de t’accueillir en mission de service civique !
Quand vous cliquez, remontez la page pour voir les résultats 🙂
Avec le soutien de la Région Occitanie
Des étudiants
Si vous souhaitez faire une mission de service civique environnemental auprès d’étudiant.e.s, vous pourrez vous adresser :
– Aux Centres Régionaux d’Oeuvres Universitaires et Scolaires (CROUS) qui accueillent, chaque année, des volontaires.
– Aux écoles supérieures : commerce, ingénieur.
Un public en situation de handicap
Avec un public jeune
institutions adaptées : Institut des Jeunes Aveugles (IJA), les Instituts Thérapeutiques Educatifs et Pédagogiques (ITEP)
Avec un public adultes
Des personnes âgées
Des scolaires, de jeunes enfants
des endroits cools
Du grand public : sportifs, familles
Pour intervenir dans un contexte sportif, le plus simple sera de vous rapprocher :
– des clubs de sport
– des associations de quartier.
– des mairies qui vous indiqueront les acteurs sportifs sur leur communes
– des comités départementaux olympiques et sportifs
Pour agir auprès des familles, contactez
– les centres d’actions sociales,
– les Lieux d’Accueil Enfants Parents (LAEP)
Bénévoles de l’association
Faire une mission en lien avec l’accueil de bénévole cantonne la recherche au milieu associatif.
Le service civique pourra s’effectuer dans toute association qui accueille régulièrement et en nombre suffisant des bénévoles.
ex : une association sportive
Agir pour la protection de la biodiversité
Pour agir en faveur de la biodiversité, on peut se tourner vers
– les associations naturalistes
– les fédérations de chasse (régionales ou départementales)
– les écoles proposant des jardins potager
Ce sujet étant très prisé, il est également possible de solliciter les structures dont les publics vous intéressent. Vous pouvez proposer des actions comme :
– Mener des actions en faveur de la biodiversité : mangeoires, nichoirs, hôtel à insectes…
– Proposer des ateliers d’apprentissage autour de la faune, de la flore, de leur milieu etc. en se fondant sur les lieux de la structure.
– Développer une démarche croisée art et nature.
Agir pour la préservation de l’eau
Vous pouvez vous tourner vers:
– Des associations de protection de la nature et notamment des milieux aquatiques (mouvement France Nature Environnement, Sea Sheperd par exemple),
– Des clubs de pêche locaux.
– Des Établissement Public d’Aménagement et de Gestion des Eaux (EPAGE)
– Des communautés de communes.
Vous pouvez aussi, dans d’autres structures, proposer des actions liées à l’eau et aux milieux aquatiques.
– Animation de stand sur le cycle de l’eau.
– Création d’exposition.
– Mise en place d’un événement autour des milieux aquatiques…
Agir pour la sobriété énergétique
Vous pouvez vous rapprocher :
– Des structures du réseau action climat (RAC).
– Des associations environnementales généralistes.
Vous pourrez proposer des actions comme :
– Créer du contenu dématérialiser ou des supports pour informer le grand public.
– Proposer des soirées débat, des événements.
– Animer un groupe de bénévoles pour lancer une dynamique de réflexion sur un territoire.
–
Développer un lien entre la culture et l’environnement
Vous pouvez contacter :
– Les organisateurs de festivals.
– Les lieux culturels (musée, résidence d’artistes, cinéma…)
– Les collectivités.
Pour, par exemple, proposer ou participer à une démarche écologique aux événements (création d’une charte, valorisation de pratiques…)
Vous pouvez également proposer des actions entre ces deux domaines à d’autres structures comme :
– Des écoles, collèges ou lycées et les structures de périscolaire.
– Des structures avec des seniors.
– Des structures du handicap.
Ces actions peuvent être :
– Des découvertes d’oeuvres artistiques en lien avec la nature.
– La fabrication d’instruments avec de la récupération ou des éléments de la nature.
– Du land’art de saison.
– Des aïkus.
Promouvoir l’écotourisme
Vous pouvez vous rapprocher :
– D’office du tourisme.
– De collectivités (Pays, Pôles d’Equilibre Territorial et Rural – PETR, communes…)
Vous pourrez proposer des actions comme :
– Recenser les offres de mobilité.
– Valoriser les initiatives vertueuses pour l’environnement dans les pratiques touristiques.
– Sensibiliser aux bonnes pratiques les touristes.
– Tenir des stands informatifs.
Promouvoir le zéro déchet et l’économie circulaire
Vous pouvez contacter:
– Les associations de l’environnement généralistes mais aussi spécialisées dans la question de la réduction des déchets (Zero Waste, FairEco…).
– Toute structure associative proposant des accompagnements ou des sensibilisation sur les déchets.
– Des collectivités territoriales.
– Des structures scolaires ou d’enseignement.
Vous pouvez proposer des actions comme :
– La fabrication d’un kit zéro déchet.
– L’organisation d’un événement type Disco soupe.
– La visite d’un centre de tri.
– Des animations autour des déchets (pesée de déchets, exposition…)
Développer des activité sportive plus respectueuse de l’environnement
Vous pouvez vous rapprocher :
– Des clubs de sport.
– Des collectivités.
– Des clubs de pratiques sportives en nature.
Vous pouvez proposer des actions comme :
– La création d’une charte éco-responsable pour les événements sportifs.
– La recherche de d’alternatives plus vertueuses pour l’organisation des rencontres.
– La promotion du réemploi avec l’organisation d’une bourse à l’équipement sportif.
– La sensibilisation des sportifs nature sur leur impact sur la nature et la biodiversité.
Agir pour plus de vélo
Vous pouvez vous rapprocher :
– Des structures associatives liées à la mobilité (2 pieds 2 roues, l’Association des Usagers des Transports de Toulouse et des Environs…)
– Des stuctures liées à liées à l’apprentissage ou d’activités de loisirs.
Vous pouvez proposer :
– Des ateliers d’auto-réparations.
– Des ateliers d’apprentissage du vélo.
– La création de circuits vélo thématiques.
Agir pour un air de qualité
Vous pouvez vous rapprocher :
– De structures associatives environnementales généralistes ou spécialisées (réseau des Associations Agréées pour la Surveillance de la Qualité de l’Air).
– De collectivités.
– Des structures liées à liées à l’apprentissage ou d’activités de loisirs.
Vous pouvez proposer des actions comme :
– Des stands et des ateliers de sensibilisation aux polluants de l’air.
– Des balades toxiques.
– Des ateliers de fabrication de capteurs de polluants.
– Des événements : conférence, projection.
Lutter contre le gaspillage alimentaire
Vous pouvez vous rapprocher :
– Des associations environnementales généralistes ou spécialisées (associations du mouvement FNE, Zero Waste, Pro-Portion…)
– Des structures liées à liées à l’apprentissage ou d’activités de loisirs.
Vous pouvez proposer des actions comme :
– Des pesées de gaspillage alimentaire.
– Des actions de sensibilisation.
– Des ateliers cuisines.
Contribuer à la communauté internationale de la protection de l’environnement
Vous pouvez vous rapprocher :
– Des structures
Lutter contre la pollution lumineuse
Vous pouvez vous rapprocher :
– D’associations de protection de la nature généralistes ou spécialisées.
– De collectivités.
Vous pouvez proposer :
– Des actions entre le monde de la nuit et la biodiversité.
– De la sensibilisation autour des impacts de la pollution lumineuse sur l’environnement.
– De la médiation entre collectivité, particuliers et commerçants.
Une fois la structure identifiée, il ne te reste plus qu’à prendre contact et à parler de ton projet et de ta motivation ! Pour t’aider tu peux utiliser les outils précédents et suivants :
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