Devant les enjeux multiples rencontrés sur les petits cours d’eau (appelé chevelu hydrographique) des têtes de bassin versant (destruction de zones humides, pollutions, prélèvements, ruisseaux transformés en fossés, menace du changement climatique…), il nous est apparu essentiel de sensibiliser le plus grand nombre à la préservation de ces milieux qui sont à la source de nos rivières et fleuves, donc indispensables à tout l’écosystème en aval.
Travaillée avec un groupe de bénévoles, la bande dessinée « Le petit chevelu, à la naissance des cours d’eau », incarne le chevelu hydrographique en un personnage qui dialogue avec une randonneuse pour lui apprendre l’importance de son existence. Leurs échanges permettent d’aborder et comprendre ce qui caractérise ces milieux fragiles, les enjeux auxquels ils font face et donnent des pistes d’actions pour mieux les préserver. Cet ouvrage est disponible en numérique (format PDF) à imprimer sur papier (format A4), et constitue un très bon support pédagogique pour les scolaires, centres de loisir (ALSH) ou parents soucieux de transmettre le respect de l’environnement à leurs enfants.
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La nouvelle cartographie des cours d’eau : Elle est instituée par l’Etat en 2015 suite à une demande de clarification de la part d’une certaine profession agricole sur ce qu’est ou non un cours d’eau, face aux tensions générées par les contrôles de la Police de l’eau sur le terrain. Il s’agit de définir de façon collégiale ce qu’est un cours d’eau, via notamment la jurisprudence et une série d’indicateurs, et de générer avec les acteurs de terrain une cartographie départementale des cours d’eau en différenciant les écoulements « cours d’eau » des « non cours d’eau » (ex. fossés), qui auront donc a priori une différence de traitement vis –à-vis des actions réglementées (travaux, épandage…). Il y a un risque de réduction de l’étendue spatiale des pouvoirs de police de l’eau et donc de protection des milieux aquatiques, même si cette cartographie se veut « à titre indicatif ».
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